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La Mécanique quantique établit à juste titre qu’il existe une infinité de potentiels qui ne deviennent réalité que lorsqu’il y a un acte d’observation. Autrement dit, une infinité d’univers possibles qu’on choisit ou qu’on ne choisit pas en fonction de ce vers quoi se porte notre attention.
C’est vrai mais cela n’explique pas cet « acte d’observation », et c’est évidemment cela l’important.
Le constat ne suffit pas, il faut comprendre :
1°) Pourquoi il existe ce potentiel infini
2°) Pourquoi l’observer lui donne réalité
3°) D’où provient ce fait d’observer et pourquoi
Ces trois questions ont une réponse. Même s’il est clair que personne, ni en Physique, ni en Philosophie, ni en Théologie, n’y a jamais répondu. Car les réponses sont au-delà du “quantique”.
Il ne faut pas s’en étonner. Quand on a compris les subterfuges du mental pour échapper à la Vérité, on ne s’étonne pas. Mais il ne faut pas non plus s’étonner qu’il soit possible de répondre et que ce soit le cas.
Sans attendre plus longtemps, et évidemment en résumant considérablement (mais tout cela est largement développé dans les pages vers lesquelles on propose des liens, et dans les livres de la Librairie de l’Hyperscience), voici donc nos propositions :
1°) Il existe un potentiel infini d’univers tous différents parce que TOUS LES FINIS SONT NÉCESSAIRES POUR QUE L’INFINI SOIT.
On aura l’occasion d’expliquer pourquoi l’infini est une NECESSITE, mais en même temps une IMPOSSIBILITE.
Il s’ensuit que tous les finis (non-infini) deviennent nécessaires à leur tour, et que eux PEUVENT être réalisés. Mais ils ne peuvent pas l’être tous puisque c’est à l’infini. Donc cela reste largement un potentiel, même si un certain nombre, immense mais toujours fini, deviennent effectifs instant après instant.
La question suivante est pourquoi certains se réalisent (chacun le sien : il n’y a pas d’univers réel unique, mais une multitude d’univers personnels, à tous les niveaux de conscience, et on s’en expliquera).
2°) Pourquoi « observer » donne sa réalité à un univers ?
Ce n’est pas exactement comme cela que cela se passe. C’est simplement que le fait que l’infini n’est pas (il est seulement une nécessité) fait que, pour tout fini, il existe une résistance par rapport à l’infini : son impossibilité.
Autrement dit : pas de conscience infinie (une telle conscience serait d’ailleurs nulle car sans limites et donc sans formes, sans contenu), mais nécessité de finis puisque l’infini impossible est en même temps nécessaire.
Tous les finis ont donc vocation à être réalisés pour constituer cet infini qui devient un but au lieu d’être une réalité. Pour le réaliser, il faut l’évolution, c’est-à-dire ajouter toujours plus de « finis ».
C’est pour cela que le temps semble exister, l’évolution, le changement permanent, car on n’a jamais fini de passer d’un univers à un autre, de plus en plus infini, riche, complet. Sans jamais y parvenir.
ENTRE CE QUI EST POSSIBLE ET CE QUI N’EST PAS ENCORE,
IL Y A CONSCIENCE.
Ce n’est pas que la conscience apparaisse, c’est simplement que la conscience est l’opposition entre ce qui peut être et ce qui devrait être. La conscience est le sentiment d’être limité par rapport à quelque chose « d’extérieur » qui paraît illimité.
En séparant les deux, il y a ce qu’on appelle « acte d’observation », « je » crois être « quelque chose » par rapport à « autre chose ».
Ensuite, on comprendra facilement pourquoi cet « autre chose » a l’apparence de « matière », est constitué de ce qu’on appelle des « atomes » qui ne sont en fait que cette énergie de relation.
3°) En répondant à la question « pourquoi des univers prennent forme » (on pourrait dire « pour quoi des limitations à la place d’un « illimité »), on répond en même temps à la question « pourquoi la conscience », puisque la conscience n’est pas une substance mais seulement une relation entre un possible et un potentiel.
Là où les deux « se distinguent » il y a le processus de « distinction » précisément. La conscience est juste une opposition qui perdure, la dualité issue du fait que l’infini qui devrait être ne peut pas être et donc devient un but.
La conscience est la limite où se situe une façon de progresser vers le but. Mais seulement une limite, une frontière, pas une réalité.
En savoir plus 1 https://www.hatem.com/cognition/
En savoir plus 2 https://www.hatem.com/conscience/
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Cette question est mal posée. Il n’y a pas, il n’y a jamais eu d’univers, il n’y a qu’une multitude de façons de s’opposer à l’infini.
Chacun est un univers personnel car l’impossibilité de l’infini n’empêche pas qu’il est nécessaire, et donc qu’on y va au lieu d’y être.
Si on y était, il n’y aurait ni conscience ni univers.
Un univers infini serait un univers nul, sans limitations, donc sans rien, de même qu’une conscience infinie serait nulle, sans forme.
Pour que l’infini se constitue, il faut tout, tous les finis, mais jamais tous les finis ne sont réalisés. Donc on y va, en changeant tout le temps d’univers. Puisque cela change tout le temps, il n’y a pas d’univers effectif définissable.
Il n’y a qu’une tendance à « tout » qui passe par toutes les étapes nécessaires.
Chacun d’entre nous est une de ces étape, chaque être de l’univers, sans exception, que ce soit animal, brin d’herbe ou particule atomique, est un de ces univers personnels indispensables.
Mais d’univers total il n’y a pas.
Bien sûr, beaucoup de ces univers personnels ont énormément de points communs. Par exemple vivre sur une terre ou avoir des sentiments.
En savoir plus : https://www.hatem.com/univers/
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A cette étape c’est un peu prématuré de répondre à cette question, mais c’est une question motivante.
Une fois qu’on a compris la nature de la conscience, et que la conscience est simplement la distinction permanente entre un possible et un potentiel, on comprend que ce processus est ETERNEL. Il n’a aucune raison ni de commencer ni de finir. Donc la conscience est permanente. Partout.
Cela étant, la conscience est la résistance à une nécessité, celle de l’infini, une inertie par rapport à ce but, et il est naturel que cela soit ressenti comme « matière » puisque c’est une résistance. Ce n’est pas de la matière, c’est purement spirituel, c’est l’opposition de deux principes paradoxaux : la nécessité d’un Tout infini, et l’impossibilité que cet infini soit accompli, justement parce qu’il est censé être infini. L’Etre est un paradoxe.
Sans résistance, quelle qu’elle soit, l’infini serait, or c’est impossible. Donc il y a résistance au niveau de la conscience. La conscience a dont l’impression de s’identifier à un CORPS, et peu importe le niveau de subtilité de ce corps, du moment qu’il y a résistance, c’est une sensation de solidité, d’impossibilité de s’étendre au-delà.
Mais ce corps qui est intimement lié à un passé (ce qu’on a déjà intégré de l’infini) et un futur (ce qu’on n’a pas encore intégré), est un curseur qui se déplace constamment pour intégrer toujours plus d’expérience, d’information, à l’infini. C’est cela la vie. Donc la conscience a le sentiment de vivre dans un corps. Simplement ce corps, cette résistance, ne peut pas durer éternellement sous une forme définie, il arrive toujours un moment où il faut passer à une autre étape. C’est ce qu’on appelle par ailleurs la « discontinuité ». L’évolution n’est jamais continue, linéaire, elle se fait par « sauts », que les quantiques appellent « sauts quantiques » dans le domaine des particules. Mais c’est le même processus au niveau de la vie et de la mort.
La vie permet l’évolution vers l’infini par accumulation d’expériences, la mort permet d’enregistrer un certain nombre d’expériences pour passer à une autre étape, également finie.
En savoir plus 1 : https://www.hatem.com/physique/
En savoir plus 2 : https://www.hatem.com/mort/
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Evidemment on peut comprendre l’existence, l’univers, tout, et ce pour une raison simple : il n’y a que SOI, la conscience et l’évolution qui y est liée, on appelle cela l’ESPRIT. On a compris ci-avant pourquoi l’esprit est créateur de son univers apparemment matériel, à l’intérieur de lui-même évidemment (on ne peut rien créer hors de l’esprit car il n’y a rien hors de l’esprit, c’est juste un potentiel infini, la conscience se déplace en même temps que la création évolue). Il n’y a rien d’autre. Et par conséquent, toute existence est contenue dans cet esprit, il n’y a aucune raison pour qu’il ne la « comprenne » pas.
On peut s’y refuser et le mental est très doué pour faire en sorte de ne rien comprendre, mais ce n’est que partie remise, tôt ou tard on comprend l’univers. La preuve.
Si le mental décide de comprendre, il le peut, à condition de ne pas avoir de croyances, par exemple croyance que la matière existe, qu’un infini (dieu) existe, ou que la conscience ou l’univers auraient un commencement.
Tout cela ne repose sur rien, ce sont des hypothèses qu’on considère comme des certitudes, et donc ce sont des obstacles à la Connaissance, servant à entretenir l’ignorance.
L’épistémologie (principes de connaissance) nécessaire à la compréhension du monde est donc de NE PAS FAIRE D’HYPOTHÈSES. Toute hypothèse étant invérifiable matériellement puisqu’il n’y a pas de matière objective, elle entretient dans l’incertitude. La Métaphysique n’a de valeur que si elle mène à des CERTITUDES, et c’est à ces certitudes que vous mène le présent site si vous voulez bien ouvrir votre esprit à cette possibilité : comprendre est possible et si d’autres ont trouvé avant moi, je ne peux que m’en réjouir, cela me gagne du temps.
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Il n’y a pas d’esprit humain plus que d’esprit non humain, l’esprit est un seul processus que nous vivons tous à notre façon personnelle qui est une limitation par rapport à la Connaissance totale, la conscience du Tout (infini) qui est impossible, et par conséquent personne d’autre que Soi, l’esprit, n’est qualifié pour tout comprendre.
C’est une progression. On ne peut avoir conscience de tout, mais le processus créateur d’univers est un et unique, c’est Soi, il n’y a donc aucun obstacle de principe à sa compréhension.
Seulement des obstacles psychologiques, car comprendre fait peur, c’est se retrouver créateur, en route vers l’infini, donc vers la nullité, et seul. C’est difficile à supporter, donc l’ignorance fait office de garde-fou.
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« Quantique » signifie « discontinu » , c’est-à-dire « par quantités » : l’énergie (ou ce qu’on appelle ainsi) ne fonctionne que dans la discontinuité. Par étapes. Par paquets. Et c’est le cas : tout est discontinu, sauf la discontinuité elle-même, qui est continue évidemment.
Ensuite, ce constat n’explique rien, et il y a eu depuis le début du vingtième siècle un certain nombre d’expériences utilisant des techniques modernes d’observation qui ont amené à constater des choses inattendues, impossible à expliquer avec la Physique classique ancienne, et cet ensemble d’observations a conduit à un ensemble de théories qu’on tente de relier entre elles sous le terme de « Mécanique quantique » (mécanique de l’atome bien évidemment).
Mais l’observation ne permet pas d’expliquer, elle ne permet que de poser de plus en plus de questions. Pour y répondre, il faut fonctionner autrement, métaphysiquement.
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Ces « paquets d’énergie » sont le nom donné à un phénomène évident dans l’atome : les particules ne se déplacent pas facilement d’une orbite à une autre. Il faut les forcer avec suffisamment d’énergie, au moins un « quantum ».
En fait, c’est une erreur d’interprétation. L’atome est solide et a une résistance très grande pour des raisons totalement différentes.
On a donné un nom à cette résistance, en qualifiant de quantum la quantité d’énergie nécessaire pour faire passer une particule satellite sur une autre orbite brutalement (pas progressivement). Mais en fait quand on a compris (et cela se démontre) que toute particule est magnétique, bipolaire, et non pourvue d’une seule charge négative ou positive, on comprend parfaitement pourquoi l’atome a une résistance mécanique qui cherche constamment l’équilibre, et quand on le perturbe en lui envoyant de l’énergie, il y résiste jusqu’à un certain point. Au bout d’un moment, il ne parvient plus à maintenir ses équilibres, il faut qu’il les trouve à un autre niveau.
Mais la notion de « quantum » ne veut rien dire de plus que ce constat, et ne l’explique absolument pas, alors que lorsqu’on sait que l’atome est purement MAGNÉTIQUE, cette résistance et ces équilibrages deviennent évidents et il n’y a pas besoin de leur donner un nom magique et créer une théorie de plus.
En savoir plus : https://www.hatem.com/comment-naissent-un-atome-et-un-syst%C3%A8me-plan%C3%A9taire/
La gravitation aussi est un nom donné à un constat, et cela n’explique rien non plus. Ce qu’il faut comprendre, c’est pourquoi les masses s’attirent.
En fait elles s’attirent ET SE REPOUSSENT avec la même force car elles sont toutes magnétiques, avec deux polarités, cela s’explique et se démontre absolument, mais dans certaines conditions de mouvements relatifs comme dans l’atome ou les systèmes planétaires où des astres tournent les uns autour des autres pour des raisons qui ne s’expliquent d’ailleurs que si on reconnaît leur nature purement magnétique, dans certaines conditions donc, la répulsion devient invisible, seule l’attraction apparaît, comme une RÉSULTANTE de trois phénomènes :
1°) la dualité magnétique qui engendre, dans certaines conditions de distance et de masses relatives, des mouvement de rotation autour d’un axe ET en translation orbitale l’une autour de l’autre. C’est inévitable dans certaines conditions, et de façon pérenne voire éternelle potentiellement.
2°) le synchronisme symétrique des rotations. Les rotations (spin) ne peut se produire que dans un synchronisme des pôles qui se retrouvent à chaque tour face à face, ce qui permet l’attraction permanente. ALORS ON CONSTATE CE QU’ON APPELLE LA GRAVITATION. Mais sinon, il n’y a rien. C’est pourquoi Einstein et d’autres ont été obligés d’inventer des théories diverses pour tenter d’expliquer cette gravitation qui semble universelle, mais sans y parvenir. Par exemple la « courbure de l’espace » n’explique rien et est impossible pour diverses raisons. Pour expliquer la gravitation il faut partir du magnétisme et de rien d’autre, magnétisme qui SEUL peut s’expliquer à partir du NÉANT à chaque instant. C’est rédhibitoire.
3°) La TRANSLATION ORBITALE qui découle directement des rotations synchronisées dans certaines conditions.
Tous les cas où ces conditions ne sont pas réunies ont disparu et n’ont pas donné lieu à la constitution d’atomes ou de systèmes planétaires. Evidemment, lorsque cela a lieu, on voit des particules ou des astres qui s’attirent et restent en orbite, sans jamais voir qu’ils se repoussent également, et on appelle cela « gravitation » par commodité. Encore un mot « magique » qui recouvre des réalités très claires. Avec la seule gravitation, toute « matière » s’agglutinerait dans une masse informe dénuée de toute vie. Il n’y a aucune raison de penser qu’il y aurait explosion (« big bang »), vu que pour que la matière soit fissile et explose quand elle est concentrée, il faut qu’elle soit constituée en atomes. Or c’est après le « big bang » que les atomes sont censés se constituer. On comprendra tout cela beaucoup mieux dans certains de nos sites où c’est expliqué en détails, ou bien entendu dans le livre « Au-Delà du Quantique » volume I, ainsi que dans les enseignements de l’Université Francophone de Métaphysique .
Les particules sont l’expression de la discontinuité. L’énergie est continue mais se manifeste de façon discontinue. C’est relatif. En réalité il n’y a pas d’interruption d’énergie entre deux particules, c’est la même énergie qui continue, mais celui qui la perçoit filtre à un certain niveau pour ne voir qu’une partie de cette énergie. La conscience ne peut être infinie, donc elle est finie. Et les objets de conscience sont donc finis. Les particules sont rondes parce qu’elles n’ont pas de raison d’avoir une forme particulière, elles n’ont pas, en fait, de forme, c’est simplement l’acte d’observation qui les sépare les unes par rapport aux autres. En tant que reliées au Tout, où l’énergie est continue, on interprète cela comme « attraction », inséparabilité. Mais en tant qu’on les distingue les unes des autres, puisqu’on ne peut pas tout percevoir en même temps, on interprète cela comme « répulsion ». Toute particule est donc à la fois attraction et répulsion, c’est sa double polarité. Mais comme celui qui perçoit la particule est concerné aussi par cette double polarité, il ne peut être en relation qu’en attraction, car la fonction répulsion a déjà opéré par le fait de l’acte de perception. Une fois qu’on a repoussé on peut attirer. Cela conduit à la séparation apparente des deux polarités, mais c’est très complexe à expliquer. Voir « Au-Delà du Quantique » volume I.
L’espace est l’acte de répulsion lui-même.
La répulsion provient du fait qu’on ne peut que percevoir un infini à l’extérieur, puisque l’unité du Tout n’est pas possible.
Il y a donc identité entre espace, conscience, et répulsion.
Ce n’est pas une réalité physique, bien sûr.
C’est une attitude « psychologique » permanente inconsciente, qui est à l’origine de la discontinuité.
A partir du moment où il y a espace, donc conscience, impression que l’infini est extérieur, comme de toute façon le but unique est l’infini effectif (un Tout est nécessaire quel qu’il soit, et il est nécessairement infini sinon il n’est pas tout), dès qu’il y a séparation (apparente), il y a tendance à réunifier ces deux pôles.
C’est l’attraction, autrement dit l’AMOUR.
L’amour est la contrepartie de la conscience.
Mais comme cette attraction ne peut pas se réaliser immédiatement, puisque l’infini est impossible et donc qu’il y a toujours un « extérieur » à intégrer, on se retrouve dans une situation de TEMPS, le But étant toujours repoussé, éternellement.
La conscience ne peut donc pas vivre autre chose que l’amour, c’est-à-dire le temps. La répulsion, elle, est évidemment inconsciente puisque la conscience en est la conséquence.
On n’a donc pas conscience de CRÉER L’UNIVERS, ce que l’on fait à chaque instant, par contre on a éternellement conscience d’un univers à aimer, et on aime de plus en plus en intégrant de plus en plus l’infini, ce qui produit l’évolution sous toutes ses formes, apparemment dans le temps.
L’énergie est le fait d’aller vers l’infini, d’engendrer progressivement l’infini (donc dans le temps) au lieu que l’infini soit, ce qui est impossible.
L’énergie provient du BUT qu’est cet infini, elle ne provient jamais du passé. Aucun passé ne contient d’énergie, le passé n’a aucune réalité présente, seule la mémoire est réelle.
Elle est présente et permet de limiter la vitesse d’intégration, c’est-à-dire la vitesse de l’énergie.
Sans but, pas d’énergie, chacun peut le vérifier au quotidien. L’évolution va dans une seule direction, de façon limitée sinon le but serait atteint et ce ne serait plus un but, il n’y aurait donc plus d’énergie, mais cela est impossible puisque l’infini est impossible.
Donc l’énergie est obligatoire, éternelle, et limitée.